L’assassinat en 1998 à Oyem de l’Américaine Karen Phillips, une volontaire de l’agence américaine Peace Corps (Corps de la Paix), continue-t-il de hanter les relations diplomatiques entre les États-Unis et le Gabon ? Pourquoi, 25 ans après l’interruption de ses opérations d’aide et d’assistance au Gabon, où elle intervenait dans l’éducation, l’agriculture et la pisciculture, l’agence fédérale américaine n’a-t-elle toujours pas repris ses activités dans le pays ?
L’administration américaine, encline à renforcer tous azimuts ses relations avec le Gabon pour contrecarrer l’influence de Pékin à Libreville, a signé plusieurs accords diplomatiques avec les autorités gabonaises, le 1er octobre, au siège de la Chambre de commerce des États-Unis. Les États-Unis s’engagent à soutenir le Gabon dans de nombreux secteurs, en s’appuyant sur plusieurs de leurs agences fédérales.
Il s’agit de la Coopération financière pour le développement des États-Unis, du Service américain de la pêche et de la faune sauvage, de l’Agence américaine pour le développement international, ou encore de la Garde nationale de Virginie-Occidentale, à l’exception du Corps de la Paix. Pourtant, cette agence de l’administration américaine est spécialisée dans le développement social des populations des pays du Sud et était présente au Gabon depuis 1962 jusqu’à l’interruption de ses activités en 2005.
À la date des premières opérations, jusqu’en 2005, le Gabon a enregistré environ 1 400 volontaires du Corps de la Paix, sur presque toute l’étendue de son territoire, avec une moyenne de 70 volontaires tous les 2 ans.
Si les États-Unis avaient justifié le retrait de cette agence au Gabon en raison des coûts d’opérations beaucoup plus élevés par rapport à la moyenne africaine, les autorités gabonaises avaient négocié en vain le retour de l’agence fédérale américaine dans le pays.
Le meurtre de Karen Phillips avait conduit à l’arrestation de Jimmy Ondo et de son complice, avant qu’ils ne soient disculpés à la suite d’un rebondissement judiciaire, qui a finalement abouti à la condamnation d’un autre suspect, Thierry Ntoutoume. Nzué, nommé Rambo.










Les américains les rois du capitalisme ils ne font jamais rien pour rien….
Que l’âme de cette jeune femme répose en paix
Que l’âme de cette jeune femme répose en paix
Les volontaires du Corps de la paix sont en réalité des espions, ils sont envoyés dans nos campagnes pour faire de l’espionnage.
Les volontaires du Corps de la paix sont en réalité des espions, ils sont envoyés dans nos campagnes pour faire de l’espionnage.
Dites plutôt des espions au service des États Unis