A l’exception de l’ex-président de la République, désormais reclus depuis le coup d’Etat dans sa résidence, de Jalil et Bilal autorisés à quitter le Gabon, Sylvia et Noureddin, arrêtés lors du putsch, seraient détenus en l’absence d’un mandat de justice et feraient l’objet d’une détention renouvelée en violation des règles de détention provisoire applicables, a fait savoir François Zimeray, le 2 octobre à Paris dans un communiqué.
Sylvia et Noureddin Bongo dénoncent un “procès spectacle” imminent au Gabon
Sylvia Bongo, 62 ans, et Noureddin, 33 ans, tous deux de nationalité française, ont été entendus pour la première fois en tant que victimes lundi au tribunal judiciaire...
Ils ont oublié ce qu’ils faisaient subir aux Gabonais. Tant pis pour eux, qui tue par l’épée péri par l’épée