A l’exception de l’ex-président de la République, désormais reclus depuis le coup d’Etat dans sa résidence, de Jalil et Bilal autorisés à quitter le Gabon, Sylvia et Noureddin, arrêtés lors du putsch, seraient détenus en l’absence d’un mandat de justice et feraient l’objet d’une détention renouvelée en violation des règles de détention provisoire applicables, a fait savoir François Zimeray, le 2 octobre à Paris dans un communiqué.
Gabon : Statut carceral de Sylvia Bongo Ondimba et Noureddin Bongo Valentin, entre incertitude et controverse
Une première version, émanant de Gabonreview et reprise par divers organes de presse, notamment français, a fait état d'un transfert des intéressés vers leur résidence le 9 mai...
Ils ont oublié ce qu’ils faisaient subir aux Gabonais. Tant pis pour eux, qui tue par l’épée péri par l’épée