Au plus fort de la crise au sein de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), en début septembre, son nom avait été abondamment cité par la presse parmi les auteurs des détournements dans cette entreprise, en proie à des difficultés financières et à des problèmes de fournitures en électricité dans le Grand Libreville.
Le pari risqué de BGFI : Pourquoi les investisseurs traînent des pieds
Le premier point de friction réside dans le prix de l'action fixé à 80 000 FCFA. En plaçant la barre aussi haut, Henri-Claude Oyima n'a pas seulement écarté...











Il fait du bon travail, j’approuve.