En 2009, lors de la présidentielle gabonaise, opposant principalement Ali Bongo Ondimba à André Mba Obame, Robert Bourgi avait déjà secoué le landernau politique gabonais, en affirmant, « Au Gabon, la France n’a pas de candidat, mais le candidat de Robert Bourgi, c’est Ali Bongo. Or je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy. De façon subliminale, l’électeur le comprendra ».
Audience de Noureddin Bongo Valentin : Entre révélations et pressions
Au cours de cet échange, le juge admet sans détour subir des pressions considérables de la part du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI)....
Sacré Robert Bourgi, toujours entrain de jouer les intéressants. Ton bip n’a pas sonné ?