Cette situation conduit les nouvelles autorités de transition à envisager une rupture de contrat avec l’opérateur turc, malgré les risques d’un arbitrage international coûteux, révèle Africa Intelligence ce 28 octobre 2024. La centrale reste « fantôme », et le coût de l’arbitrage international coûteux.
Éditorial – CAN 2025 : Football gabonais, le temps de tout casser
Le naufrage actuel face au Mozambique n'est pas un accident de parcours ; c'est le résultat terminal d'une absence de politique nationale en matière de football. L'amertume est...










