Cette situation conduit les nouvelles autorités de transition à envisager une rupture de contrat avec l’opérateur turc, malgré les risques d’un arbitrage international coûteux, révèle Africa Intelligence ce 28 octobre 2024. La centrale reste « fantôme », et le coût de l’arbitrage international coûteux.
Critères de convergence de la CEMAC : Le Gabon, le mauvais élève ?
Suite à sa politique d’endettement pour financer ses grands travaux l'État gabonais est spécifiquement mis en cause pour sa contribution à la baisse des réserves de change de...









