En 2009, lors de la présidentielle gabonaise, opposant principalement Ali Bongo Ondimba à André Mba Obame, Robert Bourgi avait déjà secoué le landernau politique gabonais, en affirmant, « Au Gabon, la France n’a pas de candidat, mais le candidat de Robert Bourgi, c’est Ali Bongo. Or je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy. De façon subliminale, l’électeur le comprendra ».
Éditorial – CAN 2025 : Football gabonais, le temps de tout casser
Le naufrage actuel face au Mozambique n'est pas un accident de parcours ; c'est le résultat terminal d'une absence de politique nationale en matière de football. L'amertume est...











Sacré Robert Bourgi, toujours entrain de jouer les intéressants. Ton bip n’a pas sonné ?