En 2009, lors de la présidentielle gabonaise, opposant principalement Ali Bongo Ondimba à André Mba Obame, Robert Bourgi avait déjà secoué le landernau politique gabonais, en affirmant, « Au Gabon, la France n’a pas de candidat, mais le candidat de Robert Bourgi, c’est Ali Bongo. Or je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy. De façon subliminale, l’électeur le comprendra ».
Le coup d’État du 30 août 2023 : Ali Bongo, le grand bénéficiaire inattendu ?
Ali Bongo n'a connu ni la prison, ni l'exil forcé, ni même la justice. C'est un sort exceptionnellement enviable comparé à celui de plusieurs de ses homologues du...











Sacré Robert Bourgi, toujours entrain de jouer les intéressants. Ton bip n’a pas sonné ?