En 2009, lors de la présidentielle gabonaise, opposant principalement Ali Bongo Ondimba à André Mba Obame, Robert Bourgi avait déjà secoué le landernau politique gabonais, en affirmant, « Au Gabon, la France n’a pas de candidat, mais le candidat de Robert Bourgi, c’est Ali Bongo. Or je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy. De façon subliminale, l’électeur le comprendra ».
Jean Gaspard Ntoutoume Ayi : « Nos relations avec la France doivent être décomplexées et équitables »
Le Confidentiel: Il y a trois ans, vous aviez critiqué la pertinence du déplacement du président français Emmanuel Macron au Gabon, à quelques mois seulement de la présidentielle...











Sacré Robert Bourgi, toujours entrain de jouer les intéressants. Ton bip n’a pas sonné ?