Jean-Pierre Antchouè Ayenoué considère la diaspora comme une “force démocratique, fertile et talentueuse”. Il est convaincu que cette richesse humaine, active et engagée, peut et doit devenir un levier politique et institutionnel au service du pays. Sa tribune fait écho aux expériences et aux défis rencontrés par ses compatriotes, des étudiants confrontés aux lourdeurs administratives aux entrepreneurs cherchant des opportunités, en passant par ceux qui s’inquiètent de leur retour au pays. Il insiste sur la nécessité de transformer ces difficultés en leviers de réussite.
Le candidat se présente comme l’un des leurs, ayant lui-même participé activement à la “résistance citoyenne” et s’étant impliqué dans la “cause communautaire”. Cette proximité avec les réalités de la diaspora fonde sa légitimité à porter leurs aspirations à l’Assemblée nationale. Il s’engage à être le porte-parole d’une communauté qui a su, malgré les obstacles, construire une vie collective et œuvrer pour la démocratie et la valorisation du “génie gabonais”.
Pour répondre aux attentes de la diaspora, Jean-Pierre Antchouè Ayenoué articule son programme autour de plusieurs axes majeurs. Il souhaite renforcer la solidarité et le soutien aux Gabonais de l’étranger en mettant en place un accompagnement complet et des dispositifs d’intervention rapide. Il a également l’ambition de moderniser les services publics consulaires, en les rendant plus accessibles et transparents grâce à des outils numériques. La valorisation de la culture gabonaise à l’international constitue un autre pilier de son action, avec le soutien aux artistes et créateurs qui font rayonner l’identité gabonaise. Enfin, il entend mobiliser le potentiel économique de la diaspora, en créant un cadre structuré pour faciliter l’investissement et la coopération avec le Gabon.
En conclusion, Jean-Pierre Antchouè Ayenoué lance un appel à l’unité et à l’action. Il invite les Gabonais de l’étranger à s’unir pour “construire ensemble cette nouvelle espérance au service du Gabon que nous laisserons demain à nos enfants”.