Son histoire commence il y a 67 ans, au cœur de Moanda. C’est ici, sur les bancs de l’école Saint-Dominique de Moanda, qu’il a posé les fondations d’un parcours qui l’a mené du collège Bessieux aux universités du Maroc, de France et du Canada. Après avoir enrichi son esprit sur les campus internationaux, il est retourné au Gabon pour intégrer l’université Omar Bongo à l’âge de 25 ans. Il a alors consacré quatre décennies à former l’élite de la nation. Ses cours à l’université n’étaient pas de simples leçons d’économie ou de finance, mais des graines plantées dans l’esprit de milliers d’étudiants, dont beaucoup sont aujourd’hui au pouvoir.
La voix d’un peuple dans les couloirs du pouvoir
Mais l’université n’était qu’une première étape. L’appel du terrain a été plus fort que les amphithéâtres. Jean-Valentin Leyama a basculé dans l’action, occupant des postes stratégiques qui lui ont permis de transformer sa vision en réalité. Il a été le premier directeur général du Fonds d’entretien routier, et a présidé l’École des Mines, des institutions clés où il a prouvé que la rigueur et l’intégrité peuvent faire la différence.
Son engagement politique n’est pas une coïncidence, c’est une nécessité. Il a servi comme député de 2006 à 2009 sous la présidence d’Omar Bongo Ondimba, puis a continué son mandat sous la présidence d’Ali Bongo Ondimba. Il est devenu la voix de ceux qu’on n’entend pas, une sentinelle au sein du collectif Copil Citoyens. Il s’est dressé, sans peur, contre les puissances étrangères qui convoitaient les terres gabonaises. Il a fait face aux mesures sanitaires liberticides et a été l’un des premiers à dénoncer la révision constitutionnelle de 2020. Son courage lui a valu de faire l’objet de plaintes et de se retrouver en opposition frontale avec l’ordre établi.
Jean-Valentin Leyama n’a pas non plus hésité à dénoncer la pollution de la rivière Moulili, causée par les activités de la Compagnie Minière de l’Ogooué (Comilog), filiale du groupe français Eramet.
Le combat pour Moanda : Au-delà du discours
À Moanda, ses actions ne sont pas des promesses électorales, mais des preuves de son engagement. Il a fait installer des équipements médicaux, soutenu des écoles, et a lancé un programme pour aider les jeunes à obtenir leur permis de conduire. Ses initiatives ne sont pas des coups d’éclat, mais le reflet d’une conviction profonde : la politique doit servir le peuple, et non l’inverse.
Jean-Valentin Leyama se présente aujourd’hui pour une raison simple mais puissante : il veut que Moanda passe de l’exploitation brute à la transformation industrielle. Il ne se bat pas pour un siège, mais pour une vision. Sa candidature est un appel à l’action, une invitation à unifier les forces pour bâtir un avenir où la richesse du sol nourrit ses propres enfants.
Il incarne l’alliance parfaite entre l’expérience, la détermination et un amour inébranlable pour sa terre. Sa voix, c’est celle de Moanda qui veut s’élever.