Sa démarche, portée par l’Union pour la Démocratie et l’Intégration Sociale (UDIS), se veut une rupture avec l’« immobilisme » et les « politiques prédéfinies » qu’il reproche à la classe politique actuelle.
Ancien résident de la commune, il déclare que sa candidature n’est pas une simple ambition personnelle, mais l’expression d’une « génération de compatriotes qui refusent de se résigner ». Il propose une « restauration véritable » fondée sur la rigueur, la probité et l’exigence pour redonner à Owendo son dynamisme.
Selon lui, c’est par une gestion financière exemplaire que la commune pourra enfin financer ses priorités : l’éducation, l’emploi, la santé et le développement urbain.
Pharel Boukika Mouketou s’engage à défendre les voix des plus vulnérables, un aspect central de son programme. Il promet de porter les préoccupations des personnes âgées, des veuves, des orphelins, des jeunes filles mères et des personnes handicapées à l’Assemblée Nationale. Il insiste sur la nécessité de leur garantir dignité, sécurité sociale et une pleine intégration dans la vie économique et politique.
Ses trois piliers de campagne sont clairs : la proximité pour une gouvernance inclusive, la transparence pour une gestion sans faille, et la vision pour construire l’avenir. En invitant les citoyens à le soutenir le 27 septembre, Pharel Boukika Mouketou appelle à l’action. Son slogan, « rompre et renouveler », résume sa volonté de bousculer le statu quo pour offrir un nouvel espoir à sa commune.